[Gamescom 2024] Indiana Jones et le Cercle Ancien s’annonce comme une lettre d’amour à nos enfances

L'intemporel Indie est de retour

« Indy est un héros auquel nous devons absolument faire justice. » Prononcée par Tim Lamb en ouverture de la Gamescom 2024, cette phrase résume peut-être le mieux la manière dont Bethesda veut appréhender Indiana Jones and the Great Circle.
Le producteur exécutif nous a ainsi montré un trailer exclusif, depuis publié en ligne, mais également partagé quelques secrets de fabrication.

 

  • Indiana revisité, Jones respecté

 

Pour incarner le célèbre archéologue, Bethesda et MachineGames on fait appel à Troy Baker, dont la voix a été prêtée à de nombreux personnages célèbres ; plus encore, son corps et son visage ont largement été utilisés via des procédés de motion capture et modélisation, montrant la polyvalence de cette figure de l’industrie.
Baker fait écho aux mots de Lamb : « J’ai grandi avec les films Indiana Jones, pouvoir le jouer aujourd’hui est un rêve que je n’aurais jamais imaginé. C’est quelque chose que je dois me consacrer à plus que bien faire. » S’il faudra encore attendre avant de pouvoir juger du résultat final, les séquences qui nous ont été montrées sont prometteuses ; les manies et mimiques iconiques d’Harrison Ford semblent reproduites à la perfection, du sempiternel sourire en coin à l’attitude décontractée, qui n’est pas sans rappeler celle d’un vaurien aussi incarné par l’acteur.
L’histoire du jeu commencera aux États-Unis, où Jones est en poste en tant que professeur. La volonté de MachineGames est de nous proposer un héros instruit et sagace, mais qui ne peut s’empêcher de s’empêtrer dans de nouvelles aventures.

 

 

Jens Andersson, design director chez MachineGames, explique en quoi la personnalité de Jones influe sur le gameplay : « [Indiana Jones, ndlr] n’est pas un tireur, ou un pistolero. Nous voulions d’abord qu’il s’occupe de résoudre des énigmes et d’échapper à des pièges. Mais lorsqu’il s’agit des combats, son arme principale n’est pas le revolver ; il y a d’abord le fouet, objet iconique, et tout un tas d’items qu’il trouvera sur sa route. En plus d’être fun et d’offrir de la diversité, cela nous permet d’illustrer la capacité d’adaptation de Jones. »

 

 

  • Le monde comme terrain de jeu

 

Des pyramides égyptiennes aux sommets de l’Himalaya, en passant par les impénétrables jungles d’Amérique du Sud, Indiana Jones and The Great Circle compte certainement nous faire voir du pays !

« L’idée est de toujours surprendre, » nous a expliqué Andresson : « Chaque moment du jeu doit être un émerveillement. Qu’il s’agisse d’architecture ou d’environnements, nous avons voulu que chaque instant soit différent, et mémorable. »
C’est une décision louable, et qui n’est pas sans risques ! Conceptualiser et donner vie à autant d’environnements différents nécessite une quantité de travail formidable, qui monopolise de nombreuses ressources ; il apparaît donc que MachineGames a toute confiance dans ce projet de grande ampleur, pour le plus grand plaisir des fans. Après tout, que serait le plus célèbre archéologue de tous les temps sans différents temples à explorer ?
Indiana Jones and the Great Circle sortira le 9 décembre prochain sur PC et Xbox, et vous pouvez voir le dernier trailer ci-dessous :

 

 

 

Rédacteur en chef de ce p'tit site bien sympatoche ! Amateur de jeux stylés, point bonus s'il y a une histoire riche et/ou des blagues de gamin. Dispo sur Twitter : @RealMimil

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