[GUIDE] Comment gérer les boss les plus chauds de Borderlands 3 (en vidéo)

Les boss sont des ennemis incontournables de la saga Borderlands, et forcément, ce nouvel opus nous en propose une ribanbelle bien sympa. Dans l’ensemble, il s’agit surtout de découvrir et mémoriser les mécaniques de chacun, mais pour plus de facilité, je vous propose ici un petit guide.

Petit principe général : soyez toujours d’un niveau au moins égal à celui de la quête principale. Généralement, vous serez un niveau en-dessous des boss concernés, ce qui n’est pas une catastrophe à gérer ; sur les boss de fin, j’ai préféré prendre un niveau supplémentaire en faisant des quêtes annexes. On plaisante pas avec la sécurité !

Autre petit conseil : le tanking c’est la vie ! Essayez de mettre quelques points dans des talents qui améliorent la santé max ou la vitesse/cadence de régen de bouclier, afin de tenir plus longtemps lors des bursts au coup par coup des boss. Et sans plus tarder, la p’tite liste ci-dessous !

 

 

  • La Furie

 

Premier véritable boss du jeu, la Furie ne pose pas de problèmes particuliers, mais est intéressant dans le sens où il sert d’entraînement. En effet, il faudra être réactif sans qu’un manque de concentration ne soit fatal, ce qui est pas mal pour se faire la main. Notons également que ce boss nous ouvrira les portes du sacro-saint « gantelet qui pète les blocs d’éridium« , selon ma description personnelle.

 

 

 

 

  • Le Fossoyeur

 

Boss ultra-classe qui conclut notre périple sur Eden-6 (« Paradis mon cul oui ! » comme le décrit si joliement Typhon DeLeon), le Fossoyeur pourra poser quelques problèmes, en plus de l’impact psychologique. Premièrement, il est très souvent en mouvement, ce qui rend très difficile de viser ses quatre points faibles : les yeux verticaux, le centre du thorax et les deux poignets. Ces deux éléments, sous forme de globes lumineux, ne sont disponibles que pendant quelques secondes, lorsque le Fossoyeur met un gros coup dans la falaise qui lui fait face. Il faudra donc exploiter ces brèves possibilités avec des armes à forte cadence de tir.

Soyez vigilants lorsque la plate-forme basculera, ce qui pourrait vous prendre par surprise. Pensez à faire face au bord surélevé, car c’est de là qu’apparaîtront des globes empoisonnés. Il ne sera cependant pas très difficile de passer entre cette vague et de recommencer à mitrailler. Quant aux différentes retombées caustiques qui couvrent une large zone, il vous faudra simplement sprinter à leur extrémité pour ne pas subir trop de dégâts.

 

 

 

 

  • L’Agoniseur 9000

 

C’est là que les choses se corsent un peu ! Cette formidable machine demandera énormément d’attention, tant les attaques viennent de tous les côtés. Le sol grillagé s’illuminera à certains endroits avant de cracher des flammes destructrices, un peu à la manière du Boucher sur Diablo III. Regardez bien le rougeoiment et foncez en-dehors des limites pour ne pas finir comme Anne Frank !

Une lame de scie circulaire (parfois triplée) sera jetée en ligne droite dans votre direction, mais globalement, il est assez facile de se décaler avant qu’elle ne soit lancée. En ce qui concerne l’espèce d’écraseur à pointes, j’ai parfois réussi à l’esquiver, parfois non ; j’imagine qu’il faut sprinter dans toute les directions et prier très fort les dieux de Pandore ! Attention à l’immense lame qui fait le tour de l’arène, puisqu’elle vous rattrapera quoiqu’il arrive. L’idée sera de parfois se baisser, et parfois sauter en fonction de l’inclinaison de la lame.

Quant aux points faibles, différents petits boîtiers rouges seront à cibler, bien que cela dépende beaucoup de la manière dont l’Agoniseur sera positionné. Une bonbonne verticale dans son dos sera aussi un morceau de choix, mais attention aux brusques retournements accompagnés d’attaques ! Lors de sa dernière phase, le boss présentera de face un noyau d’éridium qu’il faudra mitrailler sans répit.

 

 

 

 

  • Troy Calypso

 

Le jeune streameur sera un adversaire de taille, et la stratégie se résume à un seul mot : AN-TI-CI-PA-TION ! Ses mécaniques sont plutôt répétitives mais ne vous y trompez, une erreur de calcul d’une petite seconde vous coûtera cher – littéralement, quand on voit le prix des résurrections à ce stade du jeu.

La principale attaque de Troy consiste un envoi circulaire de globes d’éridium, qui font pas mal de dégâts ; néanmoins, il s’espacent en s’avançant, permettent de se faufiler entre eux, et peuvent être esquivés en sautant. Parfois, Troy vous chargera, et c’est là qu’il faudra être absolument réactif : une seconde après sa charge, sautez directement pour éviter l’inévitable ronde de globes. Il enverra parfois en même temps un mur vertical de ces petits projectiles destructeurs, mais en-dehors de l’impact psychologique, il sera assez simple d’esquiver le tout. Le combat étant assez long, profitez bien de ses moments d’invincibilité où il pompe sa soeur (oui, je sais) pour récupérer des muntions au sol.

 

 

 

 

  • Tyreen Calypso, la Destructrice plus si sarcastique que ça

 

La petite Sirène fait peur, puisqu’elle ressemble à un cadavre morcelé relié à un monstre tout droit sorti de l’imagination de Lovecraft. A l’instar de son frère, Tyreen dispose aussi d’une attaque de zone régulière, sous forme de rangées de piques éridiennes qui foncent dans trois directions rapprochées. Elles sont assez rapides et envoyées à intervalles réguliers, soyez donc hyper réactifs sur le décalage.

Le boss enverra aussi de son bras une espèce de bombe mauve qui fait beaucoup, beaucoup de dégâts et semble avoir un large rayon d’action. Dès que vous la voyez tomber, sptintez comme si vos vies en dépendaient, parce que c’est un peu le cas. Trois espèces de limaces partiront de temps en temps du boss, sur le même principe que les rangées de pique ; attention car on les discerne mal sur le sol, mais si vous êtes touché, ça se ressentira au niveau de votre bouclier et de votre vie.

Une autre difficulté de Tyreen réside dans le fait qu’elle est elle-même le seul point faible de la créature : un corps à peine entier, difficile à cibler et qui bouge tout le temps. Ajoutez à cela que le corps disparaît parfois dans le visage en forme d’anus du Destructeur, ainsi que de gandes quantités de stress pendant le combat, et on se retrouve en grande difficulté pour faire des dégâts. Il peut être tentant (et frustrant) de se focaliser sur le fait de vider le chargeur, mais croyez-moi, mieux vaut rester attentif et sur la défensive, pour éviter de mourir comme Roland. Ouch, ça, ça pique.

 

 

 

Rédacteur en chef de ce p'tit site bien sympatoche ! Amateur de jeux stylés, point bonus s'il y a une histoire riche et/ou des blagues de gamin. Dispo sur Twitter : @RealMimil

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