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Mais qu’est-ce donc qu’Overwatch !?

C’est Chris Metzen et Jeffrey Kaplan qui se sont chargés de la tâche ô combien délicate d’annoncer une nouvelle licence – chose qu’on avait pas vu depuis 17 ans chez Blizzard ! Comme l’a expliqué mister Metzen, Overwatch est le successeur spirituel du projet Titan, ce dernier ayant emprunté une direction qui ne satisfaisait plus les concepteurs. On se retrouve donc avec ce FPS original, qui encore une fois, se démarque des autres jeux du genre grâce à ses éléments maison. Voyns donc ça :

 

Histoire et contexte

 

Comme l’a expliqué le duo, Overwatch ne s’aligne pas vraiment sur une trame narrative majeure, le PvP étant la grosse majorité du jeu. Néanmoins, l’action se déroule vers la fin du 21ème siècle, après une terrible guerre. Différentes bandes de guerre, nommées les « Overwatch », ont été créés afin d’éviter que la Terre ne retombe dans le chaos – mais aujourd’hui, ces valeureux héros se battent entre eux. C’est pas plus mal à la limite, sinon le jeu n’aurait pas été super intéressant…

 

Parlons peu, parlons gaemplay

 

L’objectif de Blizzard, comme toujours, est de rendre son nouveau jeu attrayant pour les nouveaux joueurs, mais aussi de séduire les habitués du genre. Ainsi, la synergie entre tous les personnages est très importante, afin de limiter le nombre de morts. S’il n’existe pour l’instant que douze personnages différents, la firme californienne compte bien sûr en ajouter d’autres avec le temps ! Les parties se dérouleront donc en 6 contre 6, et à l’image de Heroes of the Storm, les maps auront chacune leurs particularités : il faudra remplir un ou plusieurs objectifs afin de gagner la game, et non pas simplement farmer les adversaires – même s’il est clair que ça peut aider ! Actuellement, il y a quatre types de héros connus :

 

 

Business is business, baby

 

Ce mélange nerveux de MOBA et FPS a donc beaucoup de qualités, à première vue. Ses concurrents les plus proches sont Smite et Team Fortress, mais la réputation de Blizzard à elle seule fait déjà office de coriace avantage. On se pose donc la question du modèle économique qui va être adopté, et la réponse est… ben, le soucis, c’est que Blibli se pose aussi cette question. Chris Metzen a indiqué que la question ne se posait pas encore aujourd’hui, même un abonnement ou même un simple achat ne sont pas exclus. Néanmoins, si aucune personnalisation n’est prévue, le jeu pourrait être rentabilisé d’une autre manière : en effet, Blizzard aimerait mettre en oeuvre son art de la cinématique pour, éventuellement, créer un dessin-animé

 

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