Overwatch : deux joueurs se prennent une amende après avoir écrit « big dick » en plein match

Parler de zizis en match officiel, ça n’est pas toujours une bonne idée. C’est ce qu’on découvert les joueurs pros Jung-Won « Lastro » Mun (des Los Angeles Valiants) et Dong-Jun « Rascal » Kim (des San Francisco Shock) lors d’un match de l’Overatch League, en direct depuis Twitch – pour rappel, les événements offlines ont été annulés suite au coronavirus.

Tout a commencé lorsque dans le chat, Lastro a écrit pour une raison inconnue « sex« , suivi de « big dick« . Son teammate super lui a fait remarqué que le chat était accessible publiquement, ce qui n’a pas découragé Rascal : il a lui aussi rajouté un petit « big dick » des familles afin de dessiner un genre de pénis avec différentes caractères. Entre nous, c’est pas extrêmement réussi, il faut l’avouer.

LMAOOOOOOOOOOOOOOOO pic.twitter.com/sOmgY4Y1vJ

— PHΛЯΛӨH (@PharaohOW) April 5, 2020

Super a demandé d’arrêter pendant que McGravy s’est fendu d’un « LMAOOOOOOOOOO » du fond du cœur, le tout sous l’œil des arbitres de Blizzard… qui n’ont vraisemblablement pas apprécié cette petite discussion. Lastro et Rascal ont chacun écopé d’une amende de 1000 dollars pour « discussion inappropriée durant un match de ligue« , et le support des Los Angeles Valiants s’est publiquement excusé sur Twitter :

I thought the viewers could not see the match chat because everyone was typing in it. I wrote it as a joke, although I should not have done it regardless of whether the viewers could see the match chat or not. I will make sure something like this never happens again.

— Lastro (@Lastro_OW) April 5, 2020

Et justement, sur les réseaux sociaux, les avis divergent. Si beaucoup sont d’accord sur l’immaturité des propos des deux joueurs, d’autres pointent du doigt une sanction sévère, qui n’est pas sans rappeler la polémique sur la suspension de blitzchung ou la fermeture du Toronto Esports Club. L’éditeur n’a pas commenté plus que ça, souhaitant probablement laisser cette affaire derrière lui. Vu ce qui s’est passé avant c’est compréhensible.